Tour express dans le parc de Ranomafana depuis et vers Fianarantsoa
Dimanche 29 août (suite) : Direction Fianarantsoa en 404 break, année modèle 1968, un sacré millésime. Par moment, on a dû atteindre les 15 passagers. Installation à Fianaranstoa. Séance rasage, ça devenait urgent.
Lundi 30 août : La chambre est moyennement insonorisée. Ça permet d’avoir des grandes journées. Petit déjeuner, blanchisserie, banque à l’ouverture (demande sur Mastercard), internet, banque (retrait), ANGAP pour Ranomafana, resto, sieste, labo Pierre Men, THB, lecture de la presse, repas chez Dom. Ensuite, sur les indications de la serveuse, on va voir le seul bar ouvert le lundi soir à Fianarantsoa, chez Marie-Suze (orthographe ???). Très malgache et très jeune. Une bière et on n’insiste pas.
Mardi 31 août : Après quelques courses de bon matin, direction Ranomafana. Pour le prix d’un taxi-brousse, je trouve une voiture particulière qui va chercher des clients. La route est médiocre. Sur place, avec d’autres touristes (ceux croisés au pic Boby), on prend le circuit de trois heures. De circuit, en fait, le guide nous promène pendant trois heures à la recherche des lémuriens et ne suit pas du tout le parcours annoncé dans la brochure.
Et le clou du spectacle, c’est l’observation de la faune nocturne hyper-sauvage du coin, avec distribution de viandes pour les fossas et enduction de banane sur les troncs d’arbre pour les lémuriens. Camping avec le reste du groupe à côté du point d’accueil.
Mercredi 1er septembre : Réveil de bon matin. C’est humide mais le ciel est dégagé. Je profite du véhicule des autres personnes du groupe pour remonter sur Fianarantsoa. On commence par faire un crochet au musée, à Ranomafana village. En remontant, petites pauses pour les chutes d’eau puis au village d’Ambatovaky où travaillent les forgerons, héritiers de Jean Laborde. Repas de midi à Fianaranstoa.
La fin sur les hauts-plateaux.